Pré-Créé : Alexandre Fourban

Alexandre Fourban





Nom : Fourban
Prénom : Alexandre
Âge : 21 ans
Sexe : Homme
Date et Lieu de Naissance : Ce jeune homme est né en plein cœur de Paris.

_____________________________________________________________


Caractère :
Ce jeune garçon est 100 % urbain. Les souris, la campagne, tout ça, très peu pour lui. Le cheval, c’est d’ailleurs sans doute la seule chose naturelle qu’il côtoie avec autant de plaisir. Sympathique au premier abord, son habitude de descendre les gens de leur piédestal avec classe démontre qu’il manie la langue française avec finesse. Ce n’est pas pour autant que c’est une lavette. Enfin pas dans son sens du terme. Mais nettoyer le crottin …Pouarf ! Heureusement qu’il ne se prend pas au sérieux, car de nombreux fouages de gueules vont voir lieu, et il y a de quoi ! S’il est doué pour quelques chose, c’est la cuisine, avec dirons nous un tant soit peu de matériel approprié, il sait vous faire quelques chose de délicieux. A part ça, mettre la main à la patte … très peu pour lui. Alexandre n’a pas froid aux yeux, même s’il se faire petit et remballer sa fierté dans les situations critiques. Sa santé a toujours été fragile, et il choppe un rhume pour un rien. Jovial en général, il est en fait lunatique, et se prend souvent des coups de bloose. Derrière ses airs d’intouchable, c’est un grand sentimental.

Histoire :
Déjà petit, il n’aimait pas beaucoup la nature. Sans doute était-ce génital. Sa culture générale a tout de suite pris le dessus sur son côté naturelle. Curieux, il s’intéressait à tout ce qui se passait, mais jamais aux arbres, ni aux bestioles. Conscient de ce manque ou tout simplement pour le fun, ses parents le posèrent sur un poney. Alexandre fut tout d’abord horrifié de monter sur ce truc tout poil, qui entre nous avec vraiment une seule tronche x). Cela changeait tellement des manettes froides des jeux vidéo ! Avec un peu d’insistance, il finit par accrocher. Sans doute pour combler ce vide sentimental, car bien que pas mal aimer, ses parents lui montraient rarement des signes d’affection. Il se plut, et progressa, aussi bête que cela puisse paraître. Ses parents proposèrent plusieurs fois de lui acheter son propre cheval, mais il refusa aussi souvent. Il ne se sentait pas d’avoir la responsabilité d’un cheval. D’un être vivant. Cela ne l’empêchait pas de se documenter de plus en plus, et de ne pas devenir seulement axé sur la compétition, même s’il se prit au jeu et en gagna plusieurs. Il ne fit jamais vraiment de balade, et s’entraîna dans un centre très côté en région parisienne. Les études, au fil du temps qu’elles se dessinaient pour lui ne lui disaient rien. Il préféra tenter sa chance dans le milieu équestre …